Google a récemment arrêté les services de Google Cloud Message forçant les développeurs à passer sous FireBase Cloud Messaging mais qu’est-ce que c’est ?
FireBase est une API, un ensemble de services, pour n'importe quel type d'application qui appartient à Google depuis 2014.
Le servGeoAlert FireBase Cloud Messaging est une solution cloud multiplateforme pour les messages et notifications Android, iOS et les applications Web, qui peut actuellement être utilisée gratuitement.
Google a fermé son ancienne API GCM (Google Cloud Messaging) en faveur de la nouvelle permettant de nouvelle fonctionnalité et une meilleure optimisation.
Les développeurs n'ont plus besoin d'écrire leur propre logique d'enregistrement ou d'abonnement.
Maintenant, vous pouvez intégrer FCM dans votre application avec seulement quelques lignes de code.
La migration vers cette nouvelle API a été très simple, cet outil est surprenamment intuitif et efficace.
Toute les notifications de GeoAlert mais également de la plupart de vos autres applications sont envoyé en utilisant FireBase.
Kenneth Shinozuka est un américain de 15 ans qui a toujours été fasciné par les objets connectés, notamment dans le domaine de la E-santé.
A l’âge de 6 ans il avait déjà imaginé une salle de bain intelligente, capable de détecter une chute à l’aide de capteurs de mouvements installés dans les pavés de la salle de bain. Ce projet n’a naturellement jamais vu le jour (Il n’avait que 6 ans !) mais il montre encore une fois à quel point ce jeune américain est un visionnaire.
9 ans plus tard, à l’âge de 15 ans, son grand-père, atteint de la maladie d’Alzheimer, erre souvent la nuit. Il empêche alors Kenneth et sa tante de dormir, anxieux et obligés de s’occuper de lui. Kenneth imagine alors un système simple (selon ses mots) permettant de recevoir une alarme lorsque son grand-père se lève la nuit. Dans ce TED talks, il nous explique comment le projet a été développé (entièrement par lui) et comment il souhaite continuer à l’améliorer dans le but de le commercialiser.
Alors que l’iWatch a fait sa sortie, certes moins fructueuse que prévue, mais toujours très rentable, il faut savoir que la France possède aussi des marques à la hauteur du géant de Cupertino, voire au dessus. En effet les objets connectés et le quantified-self étant aujourd’hui le nouvel eldorado des marques maîtrisant la technologie et le luxe, les entreprises françaises ne se laissent pas délaisser sur ce marché, d’autant plus que le luxe est une des images clés du produit français.
Ainsi, on vous présente aujourd’hui la marque Withings au slogan « Inspire health ». Dans le genre objet connecté au servGeoAlert de la santé et du bien-être de la personne, Withings en connaît un rayon. De la balance connectée, réveil connecté aux montres défiant l’iWatch, la start-up Withings nous prouve que la France a sa place dans ce marché.
En produisant une grande partie des produits connectés existants et ce en rajoutant sa touche de créativité (Voir notamment la caméra de domicile qui fournit de nombreux services originaux et très utiles-voir vidéo en bas de l’article), Withings s’impose sur ce marché avec sa marque de fabrique que l’on pourrait décrire de sensible et distinctive. Cependant, outre son originalité niveau technologique, en quoi la start-up Withings se distingue-t-elle de toutes les autres marques produisant ce type de produit ?
La seconde différence se trouve dans la design. Ce n’est guère une surprise, mais le design de ces produits étant un mix entre le savoir-faire Français et Suisse, il est le « plus » des objets connectés Withings. Construits à partir de matériaux nobles (Verre Saphir et Cuir de Veau pour la montre Activité par exemple) et avec des formes modernes et épurées, Withings prouve que des objets connectés peuvent être discrets et contemporains, et non pas vulgaires.
Withings propose également ses produits aux entreprises, prônant le fait qu’une équipe en bonne santé physique permet d’augmenter les capacités de chacun. Entre autre, se lancer des défis via notamment la montre Activité permet de se dépasser physiquement et intellectuellement, et ce en gardant son esprit d’équipe et de compétition.
Présentation de deux produits intéressants en vidéo:
Pour sauver des vies il ne faut pas toujours innover fondamentalement. Une innovation de « concept » vaut parfois mieux qu’une innovation de » technologie ». Aujourd’hui on vous présente deux systèmes en développement qui pourraient sauver des vies quotidiennement sur nos routes.
Cyclee, une application mobile au servGeoAlert des cyclistes
Cyclee est une application mobile pensée par un designer azerbaïdjanais, Elnur Babayev. Couplée avec son objet connecté, un mini rétroprojecteur, elle permet d’annoncer aux personnes suivant le cycliste son futur mouvement. Le mini projecteur projète la direction du cycliste sur son dos. De cette façon, les voitures peuvent anticiper les mouvements du cycliste et éviter de le percuter. Outils de communication et de protection, cette application s’utilise de jour comme de nuit, bien que le jour la capacité de projection est de facto altérée par la lumière du soleil.
A savoir, le mini projecteur s’adapte à la plupart des vélos grâce à une tige qu’il suffit de clipper et serrer.
Petit point négatif : gérer l’Iphone et indiquer nos directions alors qu’on roule n’est pas forcément plus safe que de rester concentré sur la route. Cependant, on a la possibilité de faire un itinéraire indiqué préalablement sur le téléphone pour éviter ce problème.
Application Cyclee
Un nouveau concept de camion « transparent »
Un camion transparent qui vous permet de le dépasser en toute sécurité ? Voilà l’idée que Samsung a eu en se couplant avec une entreprise argentine, créant ainsi le prototype de « Safety Truck ». Le principe est qu’une camera sans fil est placée à l’avant du camion et est connectée avec des écrans, eux situés à l’arrière. Ceci permet aux véhicules suivant le camion de pouvoir voir l’avant de celui-ci. Ainsi les ralentissements ou arrêts sont prévisibles, et les dépassements du camion peuvent se faire en toute sécurité.
Safety Truck de Samsung
En attendant la disponibilité des ces deux objets, faites attention sur la route !
La géolocalisation, ou « procédé permettant de positionner un objet, une personne sur une carte à l’aide de ses coordonnées géographiques » (Wikipédia), est très contestée dans le monde entier dans la mesure où elle a souvent tendance à aller à l’encontre de certaines valeurs de notre société.
Pourtant, la géolocalisation peut être un outil réellement différenciant pour beaucoup d’entreprises, d’évènements ou type de personnes.
La géolocalisation, c’est quoi ?
Dès lors qu’on possède un smartphone (Android, Iphone, …) qui est muni d’un GPS et d’un accès à internet, on peut déterminer notre position exacte en déterminant la position de notre smartphone.
La géolocalisation, quels enjeux ?
La géolocalisation pose d’abord problème au niveau de la protection des données individuelles et de la vie privée. En effet, suivant les systèmes de géolocalisation, les utilisateurs ont plus ou moins le choix d’être suivi.
Quand suis-je suivi ?
La plupart des applications pour les particuliers permettent de choisir quand l’activer et le désactiver. Pour les entreprises le débat est différent, car il faut d’abord décider quand est-ce que l’employeur a le droit de savoir où est son employé : quand il fait une pause au bord d’une forêt avant un rendez-vous, est-on en droit de savoir sa position exacte ?
Où mes données personnelles vont-elles atterrir ?
La réponse à cette question dépend évidemment de l’entreprise qui les enregistre. A savoir qu’aujourd’hui les données de géolocalisation intéressent les entreprises de tous les domaines, car on le sait, le futur se trouve dans la prédiction des comportements d’achat, physiques, psychologiques, etc.
Qui peut avoir mes données géographiques ?
Attention, la géolocalisation ne se fait pas uniquement dans les applications ! Lorsque vous activez vos données de géolocalisation et partagez un tweet avec position par exemple, vous pouvez être géolocalisé par n’importe qui. Dès lors, toute personne qui vous suit sur Twitter, Facebook ou autre réseau social de ce type, peut vous trouver au mètre prés dès que vous faites une publication avec un « geotagging ». (Il peut à ce moment savoir que vous n’êtes pas chez vous, et que la maison est tout à fait vide…)
Gratuit pour les particuliers, et sinon ?
Bien que ces systèmes soient souvent gratuits pour les particuliers, ils ont un coût élevé pour les entreprises qui tentent d’utiliser la géolocalisation pour avoir des données précises sur leurs employés (temps passer à rouler, kilométrages…).
Une occasion pour de l’hyperciblage marketing ?
Et oui, les systèmes de géolocalisation « pour le loisir », c’est-à-dire qui vous suivent 24/7, ou du moins durant votre temps libre, sont une occasion de recueillir un paquet d’informations de type très variés sur votre vie, vos habitudes et ce que vous appréciez. Ce sont ces informations qui vont être utiles pour prévoir les comportements et pour cibler les pubs que vous survolez sur internet.
Mais qu’y a-t-il de positif à la géolocalisation ?
Bien que l’image véhiculée de la géolocalisation soit si mauvaise, la géolocalisation a plein de vertus ignorées ou non évoquées.
Tout d’abord, l’utilisation des données dépend des entreprises qui les utilisent ; ainsi, certaines entreprises collectent certes les données mais ne les utilisent pas, comme GeoAlert GéoAlert.
De plus, la géolocalisation peut apporter des améliorations à beaucoup de choses :Elle permet certes l’analyse des comportements humains à des buts liés au profit, mais pas que. Utilisée pour l’urbanisme notamment, comme l’a fait Orange en 2013 pour son expérimentation de l’empreinte mouvement à Rennes, ou pour la sécurité comme le fait GeoAlert GéoAlert, la géolocalisation, si elle reste sur un système d’échange de données collaboratif en vu de l’amélioration de situations communes, est un réel avantage donné par la technologie actuelle.
Enfin, au delà de la simple praticité de la géolocalisation, il ne faut pas oublier qu’on peut aussi utiliser la géolocalisation pour le loisir, comme l’a fait le Tour de France avec la géolocalisation des coureurs.
Ainsi, pour éviter toute mauvaise utilisation de vos donnés de géolocalisation, il faut faire attention aux informations que l’on partage et à qui on les partage.
Si vous avez lu nos articles précédant sur ce blog GeoAlert GéoAlert, vous savez déjà ce qu’est le « quantified-self » et savez déjà qu’il existe de nos jours un nombre croissant d’applications et d’objets connectés nous permettant d’améliorer notre santé, de nous protéger, voire de nous sauver la vie.
Mais que diriez-vous, si votre objet connecté était capable de vous prendre la vie ?
C’est face à ce dilemme-là que travaillent Charlie Miller, ingénieur en sécurité chez Twitter, et Chris Valasek, chercheur spécialisé sur les véhicules pour une entreprise de sécurité informatique, afin de prévenir aussi bien les entreprises de l’automobile que les conducteurs du danger de ces véhicules, ou plutôt du danger des failles technologiques contenues dans leurs systèmes.
Durant une simulation du journaliste Andy Cherokee, les deux chercheurs activent et désactivent plusieurs fonctionnalités du véhicule, une Jeep Cherokee (Chrysler). Cela va de la mise en marche de la musique et de son volume, à l’arrêt du fonctionnement des freins et de l’accélérateur, voire parfois à l’utilisation du volant.
Ainsi, ces chercheurs expliquent que pour prendre le contrôle du véhicule il est possible d’exploiter une faille de son système (à certaines conditions). Ce genre de faille rendant accessible aux hackers le système de la voiture existe selon une estimation sur 471 000 véhicules.
Certes, face à ce problème les compagnies automobiles comme Chrysler ont commencé à proposer un patch de correction (sans jamais reconnaître la faille toutefois), mais au vu de la complexité de l’installation de ce patch, les chercheurs supposent que la plupart des véhicules avec cette faille le resteront. Ce sujet n’inquiète pas seulement les compagnies automobiles et les automobilistes, mais aussi les autorités, notamment américaines, qui ne veulent pas lier au développement technologique de leur pays les risques de hackings mortels.
Comme l’a exprimé Ed Markey dans un communique envoyé à Wired, « Les conducteurs ne devraient pas avoir à choisir entre être connectés et être protégés ».
Pourtant, c’est aujourd’hui 36 millions de voitures connectées que l’on compte en circulation, un nombre exubérant de nouvelles fonctionnalités pour nos voitures connectées, et clairement un nouveau marché pour les géants du cloud et de l’informatique comme Apple et Google. Problème : ce nouveau marché des objets connectés est aussi le terrain de jeu des hackers, heureux de pouvoir s’amuser d’autres choses que des ordinateurs.
« Connais-toi toi-même ». Ce précepte grec n’a jamais été plus vrai qu’aujourd’hui, à l’heure du quantified-self.
Mais d’ailleurs, qu’est-ce que le quantified-self ou quantification de soi en français ?
Ce phénomène est apparu dans les années 2000 aux Etats-Unis a pour origine le nouveau rapport au corps offert grâce aux nouvelles technologies. En effet, il est naturel de dire que l’on ne peut améliorer ce qu’on ne peut quantifier, c’est pourquoi on a vu se développer des objets connectés pas seulement avec notre maison, mais aussi avec notre corps, c’est-à-dire avec votre activité physique – pas, poids, rythme cardiaque. Ainsi, le quantified-self est le nom pour ce nouveau mouvement, de mode ou de valeur, qui pousse les foules à suivre et partager leurs données de santé quotidiennement, innocemment, et ce pour mieux connaître leur corps dans le but de mieux le gérer.
Les risques du quantified-self :
Cependant, cette nouvelle tendance n’est pas sans danger. D’abord, tout comme toutes les vagues d’innovations technologiques, celle-ci possède son lot de risques typiquement liés aux technologies. Les données collectées peuvent donner lieux à un nouveau commerce de l’information santé, où ces données permettent d’anticiper les besoins du marché (CF. Article IBM & APPLE) ; le piratage des informations de santé peut mettre en péril l’intimité profonde de l’individu-la fin du secret médical ? ; etc.
Mais en réalité, ce sont des risques nouveaux et inattendus qui inquiètent certains acteurs du marché, experts ou sociologues. En effet, cette nouvelle mode est sur le point de remodeler notre société actuelle, son mode de fonctionnement et sa pensée. Quels sont ces nouveaux risques ?
Pour commencer, le quantified-self pourrait donner lieu à la création de fausses normes comportementales et physiques. C’est-à-dire que l’obsession du corps, de son fonctionnement et de ses performances peut être à l’origine d’un nouveau modèle humain qui ne peut correspondre à tous les individus ou toutes les sociétés, et ne serait alors qu’un leurre.
De plus, selon l’étude réalisée par le cabinet Roland Berger, ce nouveau modèle est susceptible d’entraîner de nouveaux partenariats, notamment entre les collecteurs de données (Samsung, Apple…), les fournisseurs de soins (Les assurances), mais aussi avec les employeurs. La globalisation de cette pratique de quantified-self, entre-autre du partage des données de santé, rend en effet possible des pratiques discriminatoires envers ceux qui ne partagent pas leurs données. Ces derniers renverraient alors une image de « mauvais risque » aux employeurs ou assurances (cf. Cahiers IP n°1 de la CNIL, « Vie privée à l’horizon 2020 », 2012). Ainsi, peut-être que plus tard nos assurances offriront des tarifs avantageux pour ceux pratiquant un certain nombre d’activités physiques …
Enfin, cette envie ou besoin de résoudre nos problèmes de santé par la compréhension de notre corps et de ses dysfonctionnements nous éloigne en réalité de la solution, qui se trouve être dans la cause originelle de nos problèmes de santé. Ainsi, comme le dit Antoinette Rouvroy, « rendre les individus plus responsables de leur bonne ou de leur mauvaise santé risque de distraire l’attention sur les causes environnementales ou socioéconomiques de la mauvaise santé, au profit de causes comportementales. » Autrement dit, il est plus facile de se concentrer sur la résolution du problème par la création de nouveaux comportements compensateurs que de lancer des réformes structurelles pour s’attaquer aux causes environnementales et socioéconomiques sources du problème.
Ainsi il est clair que la tendance du quantified-self est une pratique controversée à réaliser avec modération.
Attention à bien différencier les applications de santé/sécurité de type quantified-self, et celle de type protection de sa santé et sécurisation comme GeoAlert GéoAlert*. En effet, dans le premier cas l’individu se concentre sur lui-même, tandis que dans l’autre l’individu se concentre sur son réseau de proches pour améliorer sa sécurité et son bien-être quotidien.
*Par soucis d’éthique, sachez qu’GeoAlert GéoAlert n’utilise pas vos données personnelles.
Saviez-vous que chaque personne est à l’origine d’un million de gigaoctets de données de santé au cours de sa vie ? Et pourtant, voilà ce que nous affirmait IBM en Avril dernier, à leur annonce du partenariat des géants IBM et Apple.
L’engouement grandissant pour les applications santé et les gadgets connectés ayant pour but de surveiller notre corps et nos activités physiques a lancé IBM sur son nouveau marché, la santé. En effet, la gestion de l’information est l’enjeu principal du Big Data, et l’enjeu aujourd’hui est de stocker et classer ces données de santé affluant sur le Cloud via ces applications afin de les analyser et de les comprendre.
C’est dans ce contexte qu’IBM et Apple s’associent en mettant en commun leur savoir-faire pour mettre le Big Data et l’informatique au servGeoAlert de la santé. IBM met ainsi à disposition d’Apple son super-calculateur Watson afin de développer une plate-forme, nommée Watson Health Cloud, destinée ,grâce au partage de données Apple anonymisées, à fournir une analyse poussée de celles-ci.
Qu’est ce que cela va apporter concrètement au marché actuel de la santé ? Cela est une réelle avancée pour les services santé et pour la science. En effet, cela représentera une vue globale de la santé de chaque individu, qui, avec la dimension prédictive du Big data, permettra de donner des solutions médicales en fonction de l’analyse des résultats santé de chacun.
Comme l’explique John E. Kelly III, vGeoAlert président senior, IBM research and solution portfolio,
Les solutions IBM de stockage sécurisé et d’analyse de données permettront aux médecins et aux chercheurs de s’appuyer sur un aperçu en temps réel de la santé des consommateurs et sur des données comportementales d’une échelle jamais atteinte jusqu’ici.
Cette association des deux poids-lourd nous montre encore l’intérêt grandissant de la santé pour la communauté internationale. Aussi bien source de profits que de progrès, la santé est un enjeu majeur de demain, où les populations seront à la fois plus sensibles et plus robustes qu’hier. C’est dans ce même intérêt qu’GeoAlert tente de répondre aujourd’hui aux problématiques de l’isolation et de l’indépendance des individus via les technologies avancées permettant elles aussi en un sens, de réunir les données et créer une communauté de partage des informations à son échelle.
La technologie est aujourd’hui au servGeoAlert de la santé, n’oubliez pas de profiter de cette occasion pour rester protégé grâce à l’application GeoAlert.